désir d’enfant infertilité et s’il y avait d’autres possibles que la médicalisation

J’aimerai que les femmes, que les couples, comprennent qu’ils ne sont pas forcément obligé de passer par la médicalisation pour accueillir un enfant.

Combien d’histoire de couple, avez-vous entendu où finalement la femme est devenu enceinte entre deux interventions?

Où finalement, elle est devenue enceinte quelques mois après l’arrivée d’un premier enfant?

Et ce que ce soit après « grossesse physique » ou après une adoption ou en cours d’adoption?
 
Le nombre de fois où également, on a pu entendre, je suis devenue enceinte alors que nous étions à l’étranger… une terre autre.. c’est intéressant n’est ce pas?

Et bien oui, il y a tellement de possibles sur le pourquoi cela n’arrive pas.
Parfois je sais, cela n’est pas facile à entendre mais l’un ou les deux parents, n’est pas prêt.

Il souhaite l’être, mais de nombreuses peurs conscientes ou inconscientes sont là.

Il y a bien évidemment aussi, ce qui peut se jouer dans la transgénérationnelle, de tous ces bébés perdus, de tous ces avortements forcés, ces avortements qui forcés d’être clandestins parfois provoquaient la mort de la mère.

Des peurs :
– de ne pas être à la hauteur,
– de ne pas savoir complètement faire,
–  reproduire des schémas (violence par ex),
– de la modification du corps physique,
– de l’évolution de la relation de couple,
– peurs financières qui seront souvent un peu plus marquées chez les femmes au vu du contexte actuel où la société d’aujourd’hui veut qu’une mère soit parfaite en tant que mère louve, mais qui doit aussi dès les premiers mois travailler à temps plein mais être disponible… où à temps partiel mais cela va la bloquer dans sa carrière, car elle se doit d’être libre et carriériste, elle doit pouvoir monter les échelons puisqu’elle le vaut bien…

Alors qu’il y a là tant de maternité possible à vivre, sans jugement, mais qui demande des positionnements qui ne sont pas facile à prendre, et qui ne sont pas aidés, et souvent dévalorisés de différentes manières. Et surtout comprendre vraiment les enjeux pour que ce ne soit plus des choix « non assumés » des « je n’avais pas le choix »

Bref un sujet long comme le bras.. et qui souvent vient faire partie de certaines peurs, ou ré-active des mécanismes de survie.

Il y a aussi les traces vécues durant sa propre naissance, qui sont là ( et pendant tout l’enfantement)

Alors au départ, l’enfant choisi ses parents, choisi sa date de naissance, son prénom, ce qu’il vient s’apporter, apporter à ses parents et au monde… ça c’est le projet de base.

Nous sommes composés d’informations, nous venons en tant qu’âme qui s’incarne avec nos informations qui viennent « s’imprimer » dans nos cellules, et puis s’ajoutent les informations venant des vécus du Père et de la Mère et de leur lignées respectives.

Une des raisons (j’ai bien dis une car tout est multi factoriel) pour laquelle tant de personnes ont du mal à concevoir un enfant à notre époque, c’est que le travail personnel minimum nécessaire n’a pas été fait en amont.

Et qu’aujourd’hui comme je l’ai déjà dit, il y a moins d’âme qui acceptent des conditions trop difficiles, qui annoncent automatiquement une non réussite.

Avec toutes les âmes qui sont déjà venues bien attentionnées, que je pourrais nommer de « vieilles âmes, avec grandes expériences et hautes fréquences » ont été dérouté, ont eu d’énormes difficultés et au final ont surtout souffert même si elles ont apporté bien de belles choses, cela a été à peut être 1% de leur capacité.
Ces retours d’informations et la réalité actuelle dans laquelle nous sommes encore sur Terre : la plupart des corps physiques sont pollués, l’environnement est pollué, le corps médical maltraitant, l’école maltraitante etc… cela réduit je vais dire les chances pour ces êtres d’avoir des soupapes.

Je vais donner un exemple qui peut être exagéré mais je vous assure est bien plus courant que cela :
Le couple décide d’avoir un enfant (avoir et non pas accueillir 😉 ), parce que cela fait longtemps qu’ils sont ensemble, ils se connaissent maintenant bien, la maison est achetée, chacun a un travail qui « fonctionne », et ils sont dans la trentaine donc implicitement dans la conscience collective c’est le moment. Madame arrête sa contraception.
Et en fonction du type de contraception, le gynécologue aura prévenu que cela devrait prendre certainement entre 6 mois et 1 an.
Par chance, elle « tombe enceinte » parce que oui, il n’y aura pas eu de conscience de mise pour accueillir une grossesse, donc elle ne devient plus, elle « tombe » enceinte..
Le corps de la Mère et du Père n’auront pas été préparé, je devrais même dire les corps : corps physique (enlever le maximum de polluant, et ensuite faire attention à son hygiène de vie), corps émotionnel…
Elle rentre dans les protocoles médicaux de suivi, on lui dira quand et quoi faire à chaque étape (alimentation/sport/examen médicaux…).

La femme est donc mise dans la case de « ne sais pas » « ne sais rien » doit s’en remettre pour tout au personnel médical ou autre.. mais en tout cas à une autorité extérieure à elle.

On fera tout un tas d’examens, parce que finalement il y a toujours un risque, un doute de si ou ça, de trop ou pas assez dans les grilles de paramètres… donc des parents anxieux, des bébés qui reçoivent l’information de peurs qu’ils ne soient pas comme ils devraient être…
Parfois pour être sur, ou parce que cela arrange, soit on déclenchera (donc souvent contraire au choix de l’enfant et de l’âme) soit on fera une césarienne.
Si ce n’est pas le cas, le médecin accouchera la femme, car c’est bien connu, la femme ne sait pas accoucher et l’enfant ne sait pas naitre.
On donnera quand même une place au Père, en l’autorisant à être là, à coacher la mère en lui tenant la main et en lui disant de pousser quand le médecin le dira, et à couper le cordon.
Ça c’est quand tout se passe « parfaitement » selon le corps médical, parce que lorsque ça s’est bien passé : il y a eu une dose de ci ou de ça en plus dans la perf (souvent un geste intrusif parmi les autres qui n’a pas été souhaité), le perçage de la poche des eaux, et pourquoi pas ventouse ou cuillère, épisiotomie…

Un nouveau né qui en fonction de la naissance.. naissance qui là ne sera pas physiologique rappelons le quand même!
a des traumas qu’il va vivre durant la grossesse, durant cette naissance et des suites : cordon coupé directement lui enlevant une partie de son propre sang, est enlevé de sa mère au bout de quelques instants pour des « examens » qui sont selon la médecine « nécessaires » (attention il y a des médecins et des sages femmes qui ne sont pas du tout en accord avec cela d’où je note la médecine et je mets des guillemets » ni avec ce qui se passe à l’hôpital), manipulé par un tel ou une telle… là encore vaste sujet!

Pour faire court car je ne vais pas noter ici toutes les étapes… on vole l’enfantement aux mères, aux pères, aux bébés…

Ces rites initiatiques si nécessaires pour la suite.. et donc vous comprenez là.. que ce n’est que le début et c’est déjà bien épicé si je puis dire!
1er jour de l’enfant sur Terre en dehors du ventre de sa mère.. et oui c’est déjà un paquet d’épreuves et de traumas, d’empreintes vécues, certains positifs, d’autres neutres, d’autres négatifs, d’où le terme trauma.

Aparté : ça c’est quand la femme est « tombée » enceinte… parce que sinon et bien c’est parti pour un parcours du combattant comme c’est souvent nommé… tout est dit!

Le corps de la femme va être encore une fois instrumentalisé et ses corps vont subir beaucoup, beaucoup de choses… qui ont là aussi, sans prise de conscience, auront beaucoup de conséquences diverses.

Vous comprendrez ici, que dès le départ de la conception à la naissance, on commence déjà avec des traumas annoncés, l’âme sait comment sont ces parents, elle peut espérer qu’ils n’acceptent pas, qu’ils comprennent certaines choses, mais si cela n’est pas le cas…
Si au départ l’âme se dit bon j’ai 80% de chance d’avoir tels et tels types de traumas dès le départ… ce à quoi va se rajouter s’ils ne se « réveillent pas », une tension et des positionnements compliqués pour mes parents, qui vont subir telles et telles épreuves car ils n’auront pas compris… donc je vais faire vivre cela, et j’en aurais aussi les conséquences au minima dans l’émotionnel, ma mise à la crèche à 4 mois, une intrusion médicale régulière qui feront prendre des risques dommageables à mon corps physique, puis ensuite cela sera l’école où je ne pourrais m’épanouir au vu de qui je suis… au mieux certaines choses vont être « diagnostiquées » comme si j’ étais problématique.. ce qui voudra dire des efforts pour les parents (temps, financiers) des rdv chez des spécialistes… et ça c’est sans compter le contexte environnemental/sociétal. et ce que l’âme veut venir incarner sur Terre.

Si elle sait déjà qu’il y a 1% de chance qu’elle puisse y arriver, et que cela au final ne va pas faire grandir les parents et même si cela les ferait grandir un peu… beaucoup ne le font plus, oui cela a été le cas pour certains dans le passé… mais comme je l’ai dit, il y a bien plus d’expérience d’âmes maintenant qui n’ont pas pu, qui ont été complètement déroutées, dévoyées, car il y a aussi le libre arbitre sur Terre.

Donc le côté « moi je vais y arriver, j’ai bien plus d’expérience etc… » n’est plus forcément un levier. Sans compter tous les enfants incarnés actuellement qui peuvent donc faire des retours notamment la nuit pour dire aux copains « ouf c’est vraiment plus galère que ce que je ne pensais!
Voilà ce qui ce passe réellement quand on y est!»
Alors parfois, un peu de développement personnel et spirituel de chacun des parents, de soins divers pour que tous les corps soient « nettoyés-vitalisés-réalignés etc», que les bonnes prises de conscience aient lieu, d’un réel projet parental sur ce qu’ils souhaitent vivre et comment, qui sera évidemment adaptable selon les évolutions de chacun et de ce qu’ils vivront.. et ce que cela leur demandera comme ressources divers à fournir/trouver pour pouvoir le vivre dans la société telle qu’elle est.. et hop tout s’enclenche.. et un enfantement plus serein, plus en conscience peut être vécu, l’âme viendra plus facilement, il n’y aura pas ces aller-retour (fausse couche), ou des « arrêts de travail » durant l’accouchement.

Le sujet est vaste, je partage là un peu de ce qui me vient dans l’instant comme je l’ai fait dans l’article précédent.

Il est vrai que sous forme vidéo, discussion, je pourrais donner plus d’exemple, il y a tant à dire, tant à faire (ou je devrais dire à défaire aussi!) sur ces sujets si important à mes yeux, c’est vraiment ce qui me met en joie, en mouvement, aider dès le départ, et éviter tant d’expériences de souffrances pour les parents et les enfants, car oui chacun son parcours, son timing…
cependant tout n’est pas nécessaire, utile à vivre, il est important de sortir de cette croyance, que c’est comme ça, ça devait être, c’est le karma etc..
Car cela place l’être dans l’inertie, dans la non souveraineté… et c’est donc même parfois délétère car cela met en place et active encore plus de fermetures.

De coeur à coeur.
Vanessa

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